Une fois que l’on a signé avec une maison d’édition, le travail d’écriture n’est pas tout à fait fini. En effet, l’éditeur va relire le texte et proposer des changements, poser des questions, et renvoyer le fichier à l’auteur pour entamer des discussions et des corrections ensemble.
Comme je l’ai dit auparavant, c’est une des raisons pour laquelle j’ai voulu me tourner vers une maison d’édition plutôt que l’autoédition. J’estime qu’un professionnel aura plus de retours, plus de recul sur mon texte et saura me guider sur des pistes d’améliorations ou pointer du doigt mes erreurs. On a beau relire son texte cent fois, avoir des notes, quand on a la tête dans le guidon, on ne voit pas tout. Certaines choses très claires pour l’auteur, peuvent ne pas l’être pour le lecteur, et créer des incompréhensions.
J’ai attendu ce fameux retour avec fébrilité ! Un peu comme les résultats du baccalauréat à vrai dire 😉
D’ailleurs je vais être tout à fait honnête, j’ai presque été déçue de ne pas recevoir plus de travail sur les corrections de la part de mon éditrice. Masochiste ? Oui, un peu, mais je me soigne ! Il faut dire que j’avais beaucoup travaillé mon texte avant de l’envoyer en maison d’édition, alors beaucoup de questions, de clarifications avaient déjà été travaillées avant, avec mes beta lecteurs (que je remercie encore ❤ ). Et puis je suis un peu une psychorigide de l’orthographe donc il en reste peu (là aussi, je me soigne!).
Re-(puissance 10)-lire son livre, après quasiment un an sans l’avoir touché m’a permis d’y apporter un œil beaucoup plus critique aujourd’hui, après l’avoir longuement laissé reposer.
D’ailleurs, j’y retourne, j’ai encore une centaine de pages à corriger ! A bientôt pour la suite des aventures !
Photo : machine à écrire construite en LEGO
Ah ah, je l’ai lu et j’avais bien aimé l’intrigue ^^
Mais je suis une fana de chat … ça aide !
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Hé hé hé, j’aime les chats, mais pas les longueurs :p
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